CBTU applaud the Government of Canada’s announcement of a Comprehensive Ban on Asbestos

[:en]OTTAWADec. 15, 2016 /CNW/ – Canada’s Building Trades Unions (CBTU) are very pleased with the Government’s announcement of its whole-of-government approach to ban the manufacture, use, import and export of asbestos in Canada. Bob Blakely, CBTU Chief Operating Officer, noted that, “this announcement reflects this government’s commitment to the health and safety of the Canadian workforce and indeed, all Canadians.”

Workplace exposure to asbestos is one of the leading causes of workplace-related death within the membership of the affiliated unions of CBTU. Fred Clare, the International Vice President of the International Association of Heat and Frost Insulators and Allied Workers, celebrated the Prime Minister’s statement, saying that “the Prime Minister promised us at our General Conference in May that he would ban asbestos, and now he has. I am proud to live in Canada where government will actually act to preserve the lives of our members.”

Robert Kucheran, Chairman of the Canadian Executive Board of CBTU and General Vice President of the International Union of Painters and Allied Trades (IUPAT), says “this is an important step in setting things right with all working Canadians, while many of our members will continue to suffer the effects of exposure, this is a sign that the government understands the pain asbestos has caused within our workforce.”

Mesothelioma, the cancer related to asbestos exposure, can take 20 to 40 years to develop and begin causing symptoms. The mortality rate is devastating, about 60 per cent of those affected die within a year of diagnosis, and the five-year survival rate is less than 7%.  Blakely went on to say, “While this announcement will reduce the chances for asbestos exposure in the next generation, Canadian workers and their families will feel the impacts of having worked near asbestos for years to come.”

About CBTU
Canada’s Building Trades Unions is an alliance of 15 building and construction unions that represent a membership of more than 500,000 skilled tradespeople across Canada.

 

SOURCE Building & Construction Trades Department, AFL-CIO 

Full news release available here.[:fr]OTTAWA, le 15 déc. 2016 /CNW/ – Les Syndicats des métiers de la construction du Canada (SMCC) se réjouissent de l’annonce faite par le gouvernement concernant l’approche pangouvernementale qui vise à interdire la fabrication, l’utilisation, l’importation et l’exportation d’amiante au Canada. Bob Blakely, chef de l’exploitation des SMCC, a déclaré : « Cette annonce reflète l’engagement du gouvernement envers la santé et la sécurité de la main-d’œuvre canadienne, et par le fait même, de tous les Canadiens. »

L’exposition à l’amiante est l’une des principales causes de décès liées au milieu de travail parmi les membres des syndicats affiliés des SMCC. Fred Clare, vice-président international de l’Association internationale des calorifugeurs et travailleurs alliés, a applaudi à la déclaration du premier ministre et a déclaré : « Lors de la conférence générale en mai, le premier ministre nous a promis qu’il interdirait l’amiante, et il a tenu sa promesse. Je suis fier de vivre au Canada, où le gouvernement agit véritablement afin de préserver la vie de nos membres. »

Robert Kucheran, président du conseil exécutif du SMCC et vice-président général de l’International Union of Painters and Allied Trades (IUPAT) a déclaré : « C’est une étape importante dans le rétablissement de la situation auprès de tous les travailleurs canadiens. Même si de nombreux membres continuent de souffrir des effets de l’exposition à l’amiante, cette annonce est une preuve que le gouvernement comprend la souffrance causée par l’amiante au sein de notre main-d’œuvre. »

Il peut s’écouler de 20 à 40 ans avant que le mésothéliome, le cancer lié à l’exposition à l’amiante, se développe et que des symptômes se manifestent. Le taux de mortalité est dévastateur. Environ 60 % des personnes atteintes décèdent dans l’année suivant le diagnostic, et le taux de survie après cinq ans est inférieur à 7 %. M. Blakely a ajouté : « Bien que cette annonce diminue les risques d’exposition à l’amiante pour la prochaine génération, les travailleurs canadiens et leurs familles ressentiront encore les effets d’avoir travaillé dans l’amiante pendant des années. »[:]

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