Aujourd'hui, notre directeur exécutif Sean Strickland a témoigné devant la Chambre des communes en faveur de l'avancement du projet de loi C-59. Au nom de notre industrie et de nos précieux membres, Sean a parlé de l'impact positif que les crédits d'impôt à l'investissement auront sur notre secteur, notamment l'élan pour payer de bons salaires - des salaires et des avantages syndicaux - aux travailleurs spécialisés qui bâtissent des projets pour soutenir la transition du Canada vers la consommation nette zéro. Le déploiement des crédits d'impôt à l'investissement soutiendra davantage le développement des métiers au Canada, car les dispositions du programme exigent que les organisations embauchent des apprentis - un élément essentiel de la croissance de notre main-d'œuvre.
Pour lire la suite du témoignage de Sean, voir ci-dessous.
« L'exigence de salaire dominant dans les crédits d'impôt à l'investissement est, sans aucun doute, la meilleure définition du salaire dominant dans l'histoire du travail au Canada. Qu'un travailleur qualifié soit ou non l'un de nos membres, il recevra les solides salaires et avantages que nous avons négociés dans le cadre de nos conventions collectives multi-employeurs.
Ce projet de loi est également une victoire monumentale pour le développement de la main-d'œuvre des métiers spécialisés au Canada. Les dispositions relatives aux crédits d'impôt à l'investissement obligent les entreprises à embaucher des apprentis.
C'est important. Le développement de la main-d'œuvre qualifiée de demain nécessite des possibilités d'apprentissage de haute qualité et bien rémunérées.
Il est essentiel que les entreprises soient incitées à investir dans la formation de la prochaine génération de travailleurs de l'économie propre, et l'exigence de 10 % d'apprentis est une mesure exceptionnelle qui permet de s'assurer que nous faisons ce qu'il faut pour la main-d'œuvre de l'économie propre de demain. De plus, en raison des exigences strictes en matière de salaires dominants, beaucoup plus de travailleurs canadiens seront probablement attirés par les métiers spécialisés, ce qui sera bénéfique pour eux et pour leurs familles.
Des dizaines de milliards de dollars de décisions finales d'investissement attendent la certitude qu'apportera l'adoption de ce projet de loi. Qu'il s'agisse de nouvelles installations de production pétrochimique à consommation zéro en Alberta qui peuvent tirer parti des crédits de captage et de stockage du carbone, de projets de petits réacteurs modulaires en Ontario et au Nouveau-Brunswick, ou de projets d'hydrogène dans le Canada atlantique, » -Sean Strickland, directeur exécutif du Syndicats des métiers de la construction du Canada.